Dans l'univers impitoyable des litblogs, ou booksblogs, ou je ne sais plus comment les appeler -- et après tout, est-ce que l'étiquette que l'on peut leur donner a une quelconque importance, hein, je vous le demande ? -- dans cet univers impitoyable donc, autant que surpeuplé, il arrive que l'on tombe par hasard, ou presque, sur un ilôt de fraicheur et de spontanéité. Le petit grain de folie qui fait tant défaut dans (voir le début de ce papier).
Alors, on sourit, aux anges.
Surtout quand on y parle d'un certain Kaléidoscope d'un incertain g@rp (là, on est surpris : ce recueil affiche tout de même plus de trois ans au compteur -- bientôt le contrôle technique -- et qu'il plaise encore est, oui, surprenant, mais, avouons-le, bien agréable)
Alors, vite vite vite, on cliquonlit, et on farfouille ensuite dans tous les coins.
Sans omettre de retenir le titre de ce coin de verdure : Page 28.
Et pour ceux qui n'ont pas ou plus de tête, les favoris, ça n'est pas pour rien que quelqu'un s'est cassé la sienne a les inventer.
Page 28.
Il y en a pour tous les goûts.
De Vian à g@rp en passant par Claro, en bifurquant par Pennac, Tatiana de Rosnay sans oublier le crochet par Douglas Kennedy.
Et tant d'autres.
Et c'est alimenté vitesse grand V.
Par une lectrice aux goûts éclectliques d'une curiosité électrique.
Et on aime ça.
Alors, on sourit, aux anges.
Surtout quand on y parle d'un certain Kaléidoscope d'un incertain g@rp (là, on est surpris : ce recueil affiche tout de même plus de trois ans au compteur -- bientôt le contrôle technique -- et qu'il plaise encore est, oui, surprenant, mais, avouons-le, bien agréable)
Alors, vite vite vite, on cliquonlit, et on farfouille ensuite dans tous les coins.
Sans omettre de retenir le titre de ce coin de verdure : Page 28.
Et pour ceux qui n'ont pas ou plus de tête, les favoris, ça n'est pas pour rien que quelqu'un s'est cassé la sienne a les inventer.
Page 28.
Il y en a pour tous les goûts.
De Vian à g@rp en passant par Claro, en bifurquant par Pennac, Tatiana de Rosnay sans oublier le crochet par Douglas Kennedy.
Et tant d'autres.
Et c'est alimenté vitesse grand V.
Par une lectrice aux goûts éclectliques d'une curiosité électrique.
Et on aime ça.
J'ai lu et écouté tes écrits et l'intitulé "Invention" dans Cyclocosmia n°2 est le mot juste. J'ai été sensible au pli -Entre les deux-, Le Caravage, l'ombre et la lumière et les mots de Thomas Pynchon pour le dire aussi.
RépondreSupprimerLe couloir de la mort est une torture psychologique, j'ai suivi cette injustice de près, un de mes très proches écrivait son mémoire sur la théâtralité des exécutions, c'est incroyable ce que les êtres humains sont capables de faire pour torturer d'autres êtres : -Surveiller et punir- Lezama Lima a vécu cette surveillance, ça commence ainsi et tout peut finir dans un couloir, dans une impasse. La voie sans issue n'est pas pour Lezama Lima, il a répondu par le pli baroque.
temporel, merci pour ce tout premier retour sur "Entre les deux" qui me touche particulièrement.
RépondreSupprimerEt m'encourage à continuer.
Même si certains jours...
Sincèrement : merci.